17 décembre 2009, 0h00
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Il n’est guère surprenant qu’un pays comme la Suisse, dont l’économie s’est développée beaucoup plus vite que le bassin de population, finisse par rencontrer de sérieux problèmes de ressources humaines dans ses fonctions dirigeantes. La proportion des individus dotés de qualités personnelles de très haut niveau, combinant caractère et pragmatisme, un certain goût pour la culture générale (historique en particulier), l’empathie, l’envergure intellectuelle ou tout simplement le talent, ne sont guè...
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