15 juillet 2003, 0h00
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Le destin de Swiss International – la compagnie qui a succédé à Swissair – est un cas d’école pour les gouvernements européens qui pourraient être tentés de soutenir leurs propres transporteurs aériens lorsque ceux-ci ont du plomb dans l’aile. Car essayer de sauver une compagnie aérienne coûte cher. Quant aux plans de sauvetage, ils peuvent très vite se révéler mauvais. Moins de deux ans après ce jour où la classe politique décida de lui donner 2 milliards de francs suisses pour la faire naître ...
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