05 décembre 2005, 0h00
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D’un côté le président de la Confédération Samuel Schmid. Solide, rougeaud, la moustache en bataille et le sourire narquois. A côté de lui, Hans-Rudolf Merz, les traits tirés, la peau pâle, presque diaphane, a le geste hâtif et le sourire crispé. Manifestement, les derniers jours ont laissé des traces chez le ministre des Finances. Mais sa combativité revient peu à peu au cours de la conférence de presse.
Petites concessions
En quelques mots, il retrace les résultats de sa rencontre avec la di...
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