25 mai 2009, 0h00
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S’il relançait, aujourd’hui, son projet de privatisation de Swisscom, balayé en 2006 par le Parlement, le Conseil fédéral ferait preuve de courage politique. Il est vrai qu’en pleine tempête économique, plaider le désengagement de l’Etat s’avère acrobatique. Surtout, il s’agit de répondre à l’argument massue des opposants à la privatisation, qui redoutent que le géant bleu soit racheté par un opérateur étranger. A l’instar de Daniel Brélaz, conseiller national écologiste et membre de la Commissi...
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