29 novembre 2005, 0h00
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La décision du Conseil fédéral de céder les parts de la Confédération dans Swisscom a suscité la surprise dans les milieux politiques. Elle s’est transformée en incompréhension quand, un jour plus tard, il a annoncé que l’opérateur n’aurait plus le droit d’acheter des entreprises à l’étranger tant que la Confédération serait actionnaire majoritaire. Cette décision désavoue Jens Adler, le patron de Swisscom. Pascal Couchepin la justifie au nom des mauvaises expériences du passé.
Non seulement ...
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