23 mars 2005, 0h00
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Une partie du monde politique suisse pleure ces jours des larmes de crocodile sur la vente de Swiss au géant allemand Lufthansa. Or, il convient de relever au moins un des gros avantages que cette compagnie – que par convention ou patriotisme nous disions nationale – pourrait retirer de l’opération: on voit mal, désormais, comment un ministre allemand des Transports pourrait mettre le couteau sous la gorge de Moritz Leuenberger pour l’obliger à modifier les procédures d’approche et de décollage ...
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