21 février 2001, 0h00
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Grâce à une discipline somme toute plus que correcte, Swiss Steel semble avoir partiellement conjuré les effets d’un environnement relativement déprimant dans le secteur de la métallurgie: baisse des prix de l’acier d’une part et d’autre part, renchérissement des énergies.
Depuis hier, l’entreprise de Martin Imhof doit considérer la nouvelle donne créée par la fusion-takeover du français Usinor, de l’espagnol Aceralia et du luxembourgeois Arbed, annoncée le 20 février 2000. Si les autorités de ...
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