24 juin 2004, 0h00
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La sérénité et l’avenir d’une entreprise se calculent à l’aune de nombreux critères. La stabilité et l’efficacité de son conseil d’administration figurent en bonne place dans ce tableau. Swiss n’offre pas ce genre de garanties. Depuis son envol, de nombreuses turbulences ont émaillé son organe stratégique. Dernier épisode: la démission abrupte pour divergence de point de vue de l’industriel vaudois André Kudelski. Il fait suite aux départs d’Urs Rohner, Philipp Geier, Kevin Benson, Peter Wagner ...
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