17 février 2004, 0h00
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Quand une phase dite dure («hard market»), avec des conditions imposées par les réassureurs eux-mêmes et obligeant les assureurs à être disciplinés dans leur souscription du risque, se passe, les plus forts en profitent. Dans la seconde moitié des années 90 et jusqu’en 2001, une grande majorité d’assureurs et de réassureurs étaient tombés dans la facilité, préférant une croissance des primes à leur profitabilité et en anticipant des rendements top hauts des marchés des actions.
Les moins fort...
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