12 novembre 2007, 0h00
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On savait que les gaz d’échappement des moteurs diesel étaient préjudiciables à nos poumons, n’en déplaise aux constructeurs, dont les filtres à particules ne savent pas encore capter les plus petites, celles qui vont porter leurs méfaits au plus profond de nos alvéoles pulmonaires. Eh bien notre cœur n’est pas mieux logé, à cet égard. Le congrès international de cardiologie qui s’est tenu la semaine passée à Orlando en a apporté la preuve, à l’occasion de la présentation d’une étude entreprise ...
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