13 août 2007, 0h00
Partager
Vendredi, les valeurs financières ont continué de payer le plus lourd tribut à la crise des prêts hypothécaires à risque («subrime») aux Etats-Unis et des inquiétudes plus généralisées d’un assèchement du crédit. Les injections massives de liquidités sur les marchés monétaires annoncées jeudi et vendredi par la Banque centrale européenne (BCE) et la Fed n’ont pas réussi à calmer les esprits. En Suisse, en milieu de séance, l’action Julius Bär (-5,5% à 75 francs) a cédé par moment plus de 6%, alo...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT