21 novembre 2006, 0h00
Partager
Voir les Bourses fortement progresser depuis quelques mois interpelle. Celui qui est investi songe à prendre ses profits, celui qui a raté le mouvement est tenté par une entrée tardive. Dans les deux cas, il faut oser le timing, décision la plus malaisée pour l’investisseur. Les marchés ont défié bien des prédictions catastrophistes en 2006. Les «bears» ont temporairement jubilé au printemps, pour eux synonyme d’automne du rally pluriannuel, avant de devoir reconnaître leur défaite face aux «bul...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT