25 août 2008, 0h00
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Une année après le coup de semonce de la crise du crédit, la bataille pour la croissance a changé de visage. Et les vagues dorées sur lesquelles les entreprises ont surfé se sont écrasées sur les rivages de l’intelligence managériale. Foin de métaphores, la réalité fuit la poésie. Il suffit de lire en diagonale les résultats semestriels qui sont tombés en vrac ces dernières semaines pour s’apercevoir que le bon grain se sépare de l’ivraie. Vendredi dernier, Sulzer a donné une nouvelle leçon, en ...
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