22 octobre 2013, 22h58
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Lorsque le G20 fut lancé il y a cinq ans pour trouver des solutions à la grande crise bancaire, la réaction de la Norvège fut immédiate et courageuse. Le ministre des affaires étrangères a aussitôt qualifié cette étrange institution, destinée à durer et à traiter l’ensemble des problèmes du monde, «de plus grande régression depuis la Seconde Guerre mondiale». Singapour s’est hâté d’approuver. Cinq ans plus tard, la ferveur pour le G20 et sa nouvelle gouvernance mondiale ne s’est pourtant guère d...
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