19 octobre 2009, 0h00
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Son but est de placer dans chaque cabinet de médecin son nouvel instrument dont une particularité est de détecter si un patient est atteint du virus de la grippe, d’un rhinovirus ou d’une autre pathologie. «Notre technologie nous permet non pas seulement de savoir si un patient a attrapé la grippe mais encore de quelle grippe il s’agit», commente Nader Donzel, directeur opérationnel de Biocartis. A l’heure de l’hystérie autour du virus H5N1, cela risque d’être perçu comme une bonne nouvelle. Grâ...
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