23 mars 2004, 0h00
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L’idée d’octroyer prématurément les droits sur les stock-options, au moment même où les directeurs sont en phase d’entreprendre des fusions et des acquisitions, parait tout à fait mauvaise. De ce fait, les 940 000 livres versées à Sir Richard Sykes, ancien patron de Glaxo, pour repousser l’exercice de ses stocks-options alors qu’il s’occupait de la fusion de l’entreprise avec SmithKline, resteront sans aucun doute en travers de la gorge de certains investisseurs. Peu de chose justifie cette rétr...
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