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Start-up: y a-t-il une vie après Genilem?

Les jeunes pousses affichent un taux de survie record tant qu’elles sont soutenues. Mais les années suivantes restent critiques.

29 mai 2007, 0h00
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Lancer une entreprise, c’est bien. Lui permettre de durer, c’est encore mieux. Tel est le défi auquel est confronté Genilem, organisme qui accompagne une poignée d’entreprises triées sur le volet durant les trois premières années de leur existence. Trois années sur lesquelles les poulains de Genilem affichent un taux de survie record de 90%. Soit. Reste à savoir ce qu’il advient de ces sociétés lorsque le contrat prend fin. Une fois sorties de l’incubateur, ces microentités (souvent moins de di...
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