20 novembre 2006, 0h00
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Les sommets franco-allemands ont toujours constitué un test important de la vigueur de l’idée européenne. Je garde en mémoire, avec une certaine nostalgie, ceux qui mettaient en présence François Mitterrand et Helmut Kohl.
Il faudra donc que je m’habitue, peut-être, à ce que ces réunions pluriannuelles mettent en scène Angela Merkel et Ségolène Royal. En soi, l’idée n’a rien de déprimant. Le triomphe des femmes en politique n’est, pour moi, en aucun cas une source de satisfaction ou d’inconfort...
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