Stanley Druckenmiller L’échec de l’ami génial de Soros rattrapé par la volatilité du marché

Il a cru trop tard à la nouvelle économie. Il a systématiquement parié contre les valeurs technologiques avant de virer brutalement sa cuti. Il a toujours été persuadé que le dollar était surévalué, et il a joué, avec une constance tenace, contre le billet vert. Mais il était assis sur quelques-uns des plus fabuleux hedge funds que Wall Street ait engendré et développé, ceux de George Soros. Las, les marchés sont allés à l’encontre de ses attentes. Les trois premiers mois de cette année, les con...