22 août 2007, 0h00
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Agonisantes il y a douze ans, les banques brésiliennes ne se sont jamais aussi bien portées que depuis l’arrivée au pouvoir de l’ancien chef du Parti des travailleurs, Luiz Inacio «Lula» da Silva. Sous son gouvernement leurs encours de crédit aux particuliers ont été multipliés par trois pour atteindre plus de 200 milliards de réaux (73 milliards d’euros). Résultat, les deux premières banques privées brésiliennes, la Bradesco et Itau, ont annoncé des bénéfices en hausse de respectivement 28% et ...
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