07 novembre 2003, 0h00
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Les élections fédérales laissent un goût amer à tous ceux qui s’attachent aux faits. Le débat politique suisse a été littéralement escamoté par l’usage de slogans populistes qui heurtent l’intelligence.
A gauche, et avec l’aide de médias complaisants, toute forme de libéralisation ou toute proposition visant à redéfinir les tâches et devoirs de l’Etat, y compris celui d’être bien géré, sont diabolisées, caricaturées. A tel point que le terme «néo-libéral», qui se rapporte pourtant à un courant ...
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