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Soft law ou la loi du plus fort

Le gouvernement a cédé la place à la gouvernance sans légitimité démocratique.

01 décembre 2010, 0h00
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Là où autrefois des politiciens élus adoptaient des lois et signaient des traités pour façonner l'avenir, des experts non élus élaborent aujourd'hui des règles que l'on qualifie de molles (soft law).  Jean-Claude Trichet, président de la Banque centrale européenne, a décidé avec ses collègues du Conseil des gouverneurs de la première réponse à la crise des subprimes. Il n'a aucune légitimité démocratique. Jacques de Larosière, ancien directeur général du FMI, est l'auteur d'un rapport préco...
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