20 avril 2001, 0h00
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Voici une douzaine d’années, l’acheteur d’une Skoda passait pour un fauché, un sympathisant communiste ou un malade mental. Bien mal nommée, la Favorit ne pouvait guère se targuer de son design signé Bertone et ployait sous les quolibets du genre: «Comment doubler la valeur d’une Skoda? Faire le plein.» Cinquante années de gestion communiste avaient ravalé une marque réputée pour sa qualité et son innovation au rang de sous-produit de l’automobile. Tout a changé depuis la prise de participation ...
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