14 avril 2009, 0h00
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«Singapour pourrait dépasser la Suisse en tant que première place off-shore du private banking mondial d’ici l’année prochaine et, un jour, comme premier centre de gestion de fortune au monde (on et off, ndlr).» Cette phrase-choc ne sort pas des lèvres d’un quelconque gérant asiatique, mais de Fideliz Götz, chef du private banking de la Banque Sarasin à Bâle.
Pourtant, face à la crise financière, plusieurs commentateurs avaient récemment émis l’hypothèse d’un retour de la clientèle vers les pla...
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