04 mai 2005, 0h00
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Aussi étrange que cela puisse paraître, Silvio Berlusconi est allergique à la politique. Il n’en comprend ni les rites ni les impératifs. Il est trop impatient pour se soumettre à ses attentes, trop indépendant d’esprit pour se laisser conditionner, trop personnel pour partager son pouvoir.
Cette allergie, il l’a manifestée dès le premier jour où, en juin 1994, il s’est présenté au Parlement. Cachant difficilement son irritation devant les longueurs du débat au terme duquel la Chambre des déput...
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