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Silvio Berlusconi fait le gros dos

La mort de Nicola Calipari ne devrait pas infléchir la politique irakienne de Rome. Un mot d’excuse suffira à effacer l’ardoise.

08 mars 2005, 0h00
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Ce matin, le vice-président du Conseil et ministre des Affaires étrangères Gianfranco Fini rendra compte devant la Chambre des députés des circonstances tragiques qui ont entouré la libération, vendredi soir en Irak, de la journaliste du quotidien communiste Il Manifesto Giuliana Sgrena. Demain, ce sera au tour de Silvio Berlusconi d’intervenir sur le même thème devant le Sénat. Ni l’un ni l’autre ne devraient annoncer un désengagement militaire italien d’Irak. L’Italie entretient depuis le déb...
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