22 février 2008, 0h00
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Les bonnes histoires commencent doucement pour finir dans une intensité paroxysmique qui fait leur succès. Et puis, il y a des noms qui ne paient pas de mine et semblent destinés à rester éternellement en eaux calmes, dans le ronronnement des excellentes performances. Ce qu’est en train de réussir la Banque cantonale de Saint-Gall en ce début d’année, c’est la rencontre de ces deux story-boards improbables en trois étapes-clés. Sans prééminence chronologique, le rachat du chapitre genevois d’Ang...
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