06 mars 2000, 0h00
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Son visage volontaire, son œil noir et attentif à tout ce qui bouge s’étaient imposés sur tous les écrans le 18 octobre dernier. Ce jour-là, le directeur des opérations de Nissan annonçait le plan de restructuration le plus drastique que l’industrie automobile japonaise ait subi de son histoire: fermeture de cinq sites de production, suppression de 21.000 emplois (14% des effectifs) en trois ans sur le seul Archipel. Quatre mois plus tôt, Renault l’avait envoyé remettre le constructeur sur les r...
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