13 août 2004, 0h00
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La pression des actionnaires de Royal Dutch/Shell aboutit enfin. Il y a seulement trois mois, le géant pétrolier anglo-néerlandais paraissait imperméable aux appels à modifier sa lourde structure bipolaire. Il vient d’admettre qu’il doit, au moins, créer un conseil d’administration unique. Il envisage, par ailleurs, sérieusement l’option plus radicale qui consiste en la fusion des deux entreprises dominantes.
Pourquoi aller jusqu’au bout? Deux raisons principales: la simplicité et surtout une p...
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