02 juin 2005, 0h00
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Nicolas Pinguely est un trader avide, bourré de drogues blanches et de rouge genevois. C’est du moins le portrait du héros que nous trace, à grands coups d’un phrasé incisif, l’auteur homonyme de «La théorie du cocker»*. Un bon petit premier roman, paru aux Editions Faim de siècle & Cousu mouche, qui n’a rien à voir avec l’univers canin.
Sans prétention de se poser en bombe littéraire, le livre s’ouvre pourtant sur une déflagration meurtrière. Un attentat à Genève, gare Cornavin! A l’heure où l...
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