09 juin 2005, 0h00
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«Comment peut-on mourir à Genève, en 2005, sans que personne ne s’inquiète?» s’interroge dans les médias le directeur de l’Action sociale du Canton de Genève, au lendemain de la macabre découverte d’un homme décédé chez lui il y a près de deux ans. «Tout le monde est un peu coupable: l’administration, les voisins, la régie, la famille», s’empresse-t-il de compléter, en guise de réponse. Mais quelle réponse insatisfaisante! Et quelle question empreinte du «politiquement correct» ambiant!
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