12 janvier 2004, 0h00
Partager
Ces derniers temps, le nom de Tchuruk est devenu un véritable sésame parmi le gotha économique français. Pensez: être le patron d’un groupe, Alcatel, qui peut se prévaloir d’un come-back boursier fulgurant avec une progression de plus de 150% sur la seule année 2003 est une carte de visite que beaucoup aimeraient arborer. Surtout depuis que Nokia, lors de ses derniers résultats trimestriels, a laissé entrevoir que le pire était sans doute passé sur le front des équipements de réseaux de télécomm...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT