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Séparer confidentialité et imposition

Ivan Pictet regrette que les négociations sur les CDI n’aient pas inclus Rubik. Il faut trouver d’autres moyens de faire accepter le projet.

15 octobre 2009, 0h00
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Comment la Suisse peut-elle faire accepter le projet «Rubik plus» à ses partenaires étrangers? J’aurais espéré que Rubik ait été présenté lors des négociations sur les différentes conventions de double imposition (CDI) que la Suisse a récemment signées. De même que j’ai regretté à l’époque des faits la rapidité avec laquelle la Suisse est entrée en matière suite aux attaques du G20. Nous avons donné, mais rien reçu. L’idéal aurait été de conditionner la signature des CDI à une prise de position...
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