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Secteur d’avenir pour la Suisse, le private equity doit encore améliorer son image

D’un point de vue fiscal l’administration fédérale doit mettre la place financière suisse sur un pied d’égalité en ne taxant pas les bénéfices des investisseurs.

13 juin 2007, 0h00
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«Le private equity est un secteur d’avenir pour la Suisse», a affirmé hier à Berne Urs Roth, le président du comité exécutif et délégué du conseil d’administration de l’Association suisse des banquiers (ASB), lors d’un séminaire organisé par l’organisation faîtière. Il n’en demeure pas moins que «le potentiel de certaines branches ou secteur d’affaires est tributaire de nombreuses mesures de surveillance et de conditions-cadre institutionnelles et fiscales» a averti le délégué. Et c’est le cas d...
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