26 novembre 2008, 0h00
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A quelques jours de son entrée en vigueur, il n’est peut-être pas inutile de le rappeler ici: l’accord de Schengen conclu entre la Suisse et l’Union européenne (UE) est le premier traité international qui reconnaît explicitement le devoir de discrétion du banquier. Autrement dit, et comme le rappelle opportunément le professeur de droit fiscal Xavier Oberson, «la Suisse a obtenu que le secret bancaire soit bétonné en matière d’impôts directs» (lire en page 3). On ne saurait mieux dire. Prévoyant...
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