11 septembre 2007, 0h00
Partager
Le souci commun d’introduire plus de «clarté» dans le système des marchés financiers a marqué le troisième sommet informel franco-allemand depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy à l’Elysée. Aux côtés d’Angela Merkel au château de Meseberg, la maison d’hôte du gouvernement au nord de Berlin, le président de la République française s’est livré hier à un vibrant plaidoyer pour «moraliser le capitalisme financier», dont les excès secouent le monde bancaire.
Le capitalisme, a-t-il fait valoir, doit...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT