05 juin 2008, 0h00
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Il y a un an, pendant sa campagne présidentielle, Nicolas Sarkozy promettait une «rupture» avec le passé. Pour l’instant, rares sont les Français à voir la sorte de rupture promise par Sarkozy. Mais ils auraient tort de penser que rien n’a changé pendant la première année de sa présidence. Sarkozy a, en fait, créé la rupture, bien que dans un domaine inattendu: celui du consensus en politique étrangère qui prévalait depuis l’époque de Charles de Gaulle.
Naturellement, il est encore impossible p...
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