03 avril 2009, 0h00
Partager
Se préparer au pire. Quitte à en faire trop. Pour Burkhard Varnholt, CIO de Sarasin, ce principe est crucial dans la crise actuelle. «Si les politiques se seront avérés trop pessimistes, nous nous retrouverons avec un système financier surcapitalisé», a-t-il expliqué lors d’une présentation mercredi à Genève. Au contraire, «s’ils ont basé, à tort, leurs décisions sur un sentiment trop optimiste, les banques deviendront des zombies et le gouvernement sera discrédité». Les autorités semblent avoir...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT