02 juin 2008, 0h00
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François Nussbaum
à Berne
Le président de la Confédération a rappelé hier que le Conseil fédéral n’avait soutenu l’article constitutionnel que pour ne pas se trouver en porte-à-faux avec le Parlement, qui l’avait majoritairement approuvé. Bien que favorable à une ouverture dans le marché de la santé, il désapprouvait le texte tel que proposé et surtout la manière dont il avait été élaboré.
Tout était déjà dans la loi
Cet article n’était pas «l’incarnation du mal», comme certains l’on...
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