05 juillet 2005, 0h00
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«Restez avec nous». C’est l’appel que la direction de Saia-Burgess a lancé hier à ses actionnaires. Le fabricant fribourgeois de composants électroniques, victime d’une OPA hostile de la société japonaise Sumida, a répété que la meilleure voie possible pour continuer de croître demeurait l’indépendance.
«Nous nous opposons à l’offre japonaise», a martelé Daniel Hirschi, CEO de la société qui emploie 600 personnes à Morat et 3700 au total. Trois raisons majeures conduisent à ce refus. Première...
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