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Rubik ne fait pas que des heureux

Le projet d’impôt à la source libératoire n’a de sens que si l’Etat étranger renonce à criminaliser bon nombre de ses ressortissants. Et accepter que la Suisse prélève leurs impôts à sa place pour les lui reverser.

21 décembre 2009, 0h00
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Le moins que l’on puisse dire est que face au projet d’impôt à la source libératoire, perçu en faveur d’Etats tiers, les banquiers suisses ne sont pas au diapason. Rubik - nom donné à ce projet - est censé alléger la pression fiscale que l’Union européenne (UE) fait peser sur la Suisse en constituant une alternative à l’échange automatique d’informations fiscales qui sonnerait définitivement le glas du secret bancaire. La mise en œuvre de Rubik garantirait le maintien de la sphère privée financi...
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