14 mars 2013, 22h34
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En négociant les accords Rubik avec l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Autriche, la Suisse comptait ouvrir une brèche dans le processus visant à promouvoir l’échange automatique d’informations en matière fiscale comme norme internationale. Elle espérait préserver ainsi durablement ce qui restait de son secret bancaire en faisant reconnaître Rubik comme équivalent à l’échange automatique d’informations.
Le refus de l’Allemagne de ratifier l’accord Rubik a définitivement mis à mal cette strat...
Le refus de l’Allemagne de ratifier l’accord Rubik a définitivement mis à mal cette strat...
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