03 août 2001, 0h00
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Phil Watts, le président de Royal Dutch/Shell, le sait mieux que quiconque: aucun investisseur n’aime acheter au plus haut. Il doute aussi certainement de l’opportunité de reprendre un poste au moment où l’entreprise semble être parvenue à son sommet. Le bon filon que représentait Shell n’échappe pas à un ralentissement, et cela au moment précis où Phil Watts doit prendre ses fonctions.
La baisse du prix du pétrole et des marges plus faibles dans le secteur ont fait chuter le bénéfice trimestrie...
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