08 août 2001, 0h00
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La Royal Bank of Scotland n’a pas réduit en cendres la National Westminster qu’elle avait rachetée, comme l’indique clairement les résultats du premier semestre. Les bénéfices sous-jacents ont progressé de 36% d’une année sur l’autre. Les revenus des intérêts ont pris 13% et les commissions 12%. Le vrai mouvement d’accélération est dû aux réductions de coûts qui avaient été promises. Elles ont permis de réduire le ratio des coûts de la banque d’un grassouillet 56% à un très honorable 48%. Ainsi ...
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