11 mai 2007, 0h00
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Sans suspense, sans surprise, et dans l’indifférence quasi générale. C’est ainsi que la saga Ioukos s’est rapprochée un peu plus hier de son dénouement final. Trois ans et demi après l’arrestation de son président Mikhaïl Khodorkovsky et le début des poursuites politico-judiciaires contre son groupe pétrolier, l’oligarque a peut-être appris, depuis sa prison du fin fond de la Sibérie, les conditions de la vente de Samaraneftegaz, sa filiale de production, ainsi que de trois grosses raffineries. ...
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