02 mars 2009, 0h00
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Bastien Buss
à Lausanne
«La tension est palpable. Jamais je n’avais connu pareill nervosité au sein du groupe Richemont», témoigne un employé au siège du numéro deux mondial du luxe à Bellevue (GE). La pression monte sur tous les fronts, dans un contexte toujours plus ardu de récession mondiale et, corollaire, de forte baisse des ventes horlogères. Richemont cèderait même un peu à la panique, selon cette source interne. Le CEO Norbert Platt, malgré les mesures prises à l’interne, ne peut q...
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