06 octobre 2004, 0h00
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C’est par la petite porte que Rocco Buttiglione entrera dans la future Commission européenne, à la faveur sans doute d’un échange de civilités entre la gauche et la droite européennes. Hier, l’Italien n’a pas été très convaincant devant les eurodéputés qui l’ont interrogé sur la tâche qui l’attend: contribuer à faire de l’Union un espace de liberté, de justice et de sécurité.
Depuis le 27 septembre, les parlementaires européens entendent l’un après l’autre les 24 commissaires qui ont été désign...
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