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Roberto Cavalli voudrait mettre sa griffe dans la patte d’un fauve

Le couturier italien a dragué le groupe Richemont, qui n’a pas répondu. Regard sur une éventuelle diversification que rien ne justifie.

25 septembre 2007, 0h00
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Parole, parole, parole… Bien malgré lui, Richemont griffe encore l’actualité. Il a suffi de quelques mots du showman Roberto Cavalli dans la presse britannique pour que son cri d’amour lancé au groupe basé à Genève retentisse dans l’arène médiatique. Depuis plusieurs mois, le créateur de la marque éponyme clame ses intentions de vendre une majorité des actions de son entreprise, il a maintenant jeté son dévolu sur Richemont. Le conglomérat du luxe étant, selon les vues du styliste, une opportuni...
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