19 octobre 2011, 0h00
Partager
Dans l'hypothèse où le sommet européen dimanche décidait d'une nouvelle réduction de la dette grecque, les banques du pays devront trouver en urgence entre «5 et 20 milliards d'euros»;, selon l'ampleur de la décote retenue, pour éviter la faillite, estime Stefan Nedialko, analyste chez Citigroup. Il ne faut guère compter sur les investisseurs privés, qui se désengagent massivement du secteur bancaire. La capitalisation boursière des quatre premières banques a ainsi fondu de 70% en moyenne depuis...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT