16 février 2010, 0h00
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La crise financière a mis à mal la mondialisation de l’économie, que les Anglo-Saxons – et avec eux de plus en plus d’Européens – appellent la globalisation. Pas durablement, espèrent ses partisans, mais de façon suffisamment significative pour que l’on commence à parler de «déglobalisation».
Le cabinet d’audit Ernst & Young vient de publier son quinzième Globalization Index qui, comme les précédents, porte sur les 60 premiers pays de la planète (par l’importance de leur PIB). Cinq familles de ...
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